Lecture réflexive
Le matin, nous continuons à lire Michael Fine et nous apprenons que la contraction de la vessie impacte sur l’amplitude sonore (le niveau sonore) et non pas la fréquence, comme nous l’imaginions. Toutefois, il faut noter que ces expérimentations sont toujours mesurées sur des poissons morts, et les muscles sont activés artificiellement.
La publication de M. Fine s’articule autour du muscle sonique du poisson crapaud (Opsanus Tau). Nous nous intéressons particulièrement à la question du muscle antagoniste du poisson. Un muscle qui viendrait contracter / mettre en tension le système, qui agit comme la pression de l’air sur la membrane du ballon ou bien la tension produite par le pot vibrant. Un autre muscle vient ensuite activer le stick-slip par glissement avec une pression sur une surface. Mais à la relecture des publications plusieurs questions se posent : travaillons-nous à une échelle “juste” ? Quelle est l’intensité sonore réelle des sons produits par les poissons ? Ne serait-il pas nécessaire d’approfondir un peu nos notions d’acoustique sous-marine pour mieux comprendre les phénomènes ? Par ailleurs, avons-nous jamais relevé une mesure de contraction musculaire sur un poisson vivant ???
La tête pleine, nous continuons les expérimentations de matériaux pour produire des stick-slip d’un ballon sur des arêtes, un couteau en plastique avec des petites dents, une tige fileté en métal, la lanière de sac, un fil de pèche naturellement strié.
Générateur de Pelates
Térence finalise un générateur de Pelates conçu avec Pure Data.
Nouveau départ…
L’après-midi est consacrée au rangement de notre salle d’expériences. Nous en profitons pour visiter la salle de conférences du LiPhy qui devrait accueillir notre présentation, lors d’une prochaine venue…